Chers lecteurs, je vous retrouve aujourd’hui avec la deuxième partie de mon journal de lecture de décembre. Une publication un peu tardive car j’ai beaucoup lu durant cette deuxième partie de mois, et mon journal a été de ce fait très long à éditer ! Je vous recommande donc de découvrir cette newsletter lorsque vous avez un peu de temps devant vous, et de vous munir d’un gros mug de la boisson chaude de votre choix pour accompagner votre lecture ☺️
Lundi 16 décembre
Ce matin, j’ai lu la nouvelle Snow d’Olive Wadsley (Stories for Christmas - British Library Women Writers), une jolie histoire de romance racontée tout en retenue et délicatesse, avec l’omniprésence de la neige.
J’ai relevé ce passage (pp.65-66) évoquant l’esprit de Noël que j’ai adoré :
“Got the Christmas spirit?” he asked Viola boyishly, and she said, quite eagerly for her : “Oh, I have ! But I always do have ! I begin to feel excited quite early, you know, and then when it gets to Christmas Eve, I don’t know, but I feel - oh rather as if I were waiting for something wonderful to happen ! And very young ! The second I smell the Christmas tree, I lose every year except five. I’m five again, and I believe in Santa Claus, and that Christmas is the loveliest time in all the year, and hearing church bells ringing makes me want to cry a little, and hearing the waits in the night does make me cry !”
(...)
“I simply hate people who put on frills and tell you they are bored stiff with Christmas, and it’s only a time for overeating and then sleeping it off!” Viola went on, in the same warm, quick voice: “To me, it’s the one time you are really a child at heart, however old you may be. It’s a time of lovely, darling surprises, of, for once, reaping the benefit of having saved up, of being happy just simply… One walks lots at Christmas, have you noticed ? And one plays games, and is not only a child at heart, but pure of heart; just for a little while.”
J’ai également lu une cinquantaine de pages de La fille qui n’aimait pas Noël (Zoé Brisby). C’est une lecture sympathique et assez drôle. Je prends beaucoup de plaisir à découvrir les nombreuses traditions de Noël du petit village d’Arnac-la-poste. Je passe un bon moment.
Mardi 17 décembre
Reçu dans mon calendrier de l’Avent : La vie est belle et drôle à la fois de Clarisse Sabard. Je n’ai jamais lu de romans de cette autrice mais elle est très appréciée de mon amie. Je suis donc heureuse de voir ce titre rejoindre ma pile à lire de Noël pour l’année prochaine, et très curieuse de découvrir si la plume de l’autrice me plaira !
Lectures du jour: deux autres nouvelles, deux autres excellentes découvertes. Ce recueil est vraiment une merveille.
La première, ‘Twas the night before Christmas (Kate Nivison) démarre du point de vue d’une souris en quête de nourriture la nuit de Noël. Elle a longtemps attendu que la maison soit calme pour sortir de son nid. Mais la maîtresse de maison veille près du sapin, perdue dans ses souvenirs et légèrement endeuillée de voir peu à peu Noël prendre une autre forme au fur et à mesure que ses enfants grandissent, tout en ne résistant pas à jouer le rôle du Père Noël, ou de Mère Noël plutôt, en veillant accompagnée d’un lait chaud au brandy et de quelques mince pies afin de remplir les stockings une fois la maisonnée endormie. Une nouvelle douce abordant Noël sous un angle différent.
The Christmas fugue m’a permis de découvrir la plume de Muriel Spark dont j’ai beaucoup aimé le ton et le portrait de l’héroïne libre et déterminée qu’elle met en scène : une jeune anglaise ayant passé quelques années en Australie décide de rentrer en Angleterre sur un coup de tête la veille de Noël. Elle se retrouve à passer une bonne partie du jour de Noël dans l’avion en compagnie de quelques autres voyageurs.
Mercredi 18 décembre
Hier soir, j’ai commencé la novella The Christmas Book Hunt de Jenny Colgan, uniquement disponible au format numérique.
Je commence à me dire qu’on n’a jamais trop de Jenny Colgan dans son quotidien de lectrice, et je me réjouis du fait qu’elle soit aussi prolifique! J’en suis plus ou moins à la moitié de ma lecture : quelques jours avant Noël, Mirren, jeune londonienne part en quête d’un livre illustré très rare afin de réaliser le dernier souhait de sa grand-tante sur le point de mourir. Cette quête l'amène d’abord à se rendre sur Charing Cross afin de se renseigner auprès de spécialistes en livres rares, pour ensuite se retrouver sous la neige à Hay-On-Wye, un village situé au Pays de Galles connu pour ses bouquineries proposant de nombreux livres anciens. Sur place, elle y rencontre Théo, un charmant expert en livres anciens, dont les manières semblent délicieusement provenir d’un autre temps.
Une histoire qui parle forcément à la bibliophile en moi. Je rêve d’aller à Hay-on-Wye. Ainsi qu’à Wigtown, son équivalent écossais.
Jeudi 19 décembre
Je continue ma lecture de Stories for Christmas.
De Stella Gibbons, je n’ai lu que Nightingale Wood, il y a des années. J’avais beaucoup aimé, mais n’ai pour autant rien lu d’autre d’elle depuis. J’étais donc ravie de voir que sa nouvelle The little Christmas tree faisait partie du recueil. J’en suis ressortie complètement charmée, et c’est sans doute l’une de mes nouvelles préférées jusqu’à présent. Dans cette nouvelle, nous faisons la connaissance de Rhoda Harting, une autrice ayant décidé de quitter Londres pour s’installer dans un cottage dans le Buckinghamshire. Tout ce que j’aime. Rhoda s’accommode très bien de sa nouvelle vie et n’envisage pas du tout d’un mauvais oeil de passer Noël seule en sa propre compagnie, et de celle d’un petit arbre de Noël décoré de boules argentées et de citrons en verre de couleur verte et rouge, et illuminé de bougies. Mais Noël ne se passe finalement pas comme elle l’avait imaginé, et la solitude la gagne peu à peu, jusqu’à ce qu’on vienne frapper à sa porte… Enchanteur.
Ensuite, j’ai lu The Christmas present de Richmal Crompton : Mary ne rêve que d’une chose, c’est de passer ses soirées au calme à lire et à coudre (je la comprends). Mais c’est sans compter sur le goût de son mari pour le son de sa propre voix. Chaque année, le couple passe Noël chez l’oncle et la tante sourde de Mary. Celle-ci ne se doute pas du cadeau que va lui faire sa tante cette année, peut-être bien celui de soirées au calme. Les petits actes de révolution domestique sont définitivement les plus drôles et jouissifs. Cette nouvelle m’a fait repenser à celle de Maeve Binchy, lue plus tôt ce mois.
Vendredi 20 décembre
Terminé hier soir, The Christmas book hunt de Jenny Colgan.
Après Hay-on-Wye, direction Edimbourg et notamment une visite au Writer’s museum. Un lieu que j’ai visité il y a des années et que j’avais beaucoup aimé. C’est toujours très réjouissant de suivre des personnages arpentant des endroits qu’on connaît, et inversément, de marcher dans des lieux qu’on a d’abord découverts entre les pages d’un livre. Edimbourg, au fil du temps, c’est devenu un peu des deux. J’ai tant rêvé d’y aller lorsque j’ai découvert la série Isabel Dalhousie d’Alexander Mccall Smith. Mon premier voyage il y a déjà presque 13 ans fut un émerveillement au détour de chaque rue. Edimbourg est une ville qui parle à tous les amoureux des livres et j’avais l’impression de marcher à l’intérieur de ces livres que j’ai tant aimés (Note à moi-même: il est temps de lire un nouveau tome de la série Isabel Dalhousie). C’est toujours le cas aujourd’hui lorsque j’y retourne, mais je me rends compte que la tendance s’est peu à peu inversée. Je pense que je prends aujourd’hui presque plus de plaisir à retrouver la ville dans les livres car cela me connecte désormais à la nostalgie de ce premier voyage, et de ce qu’il a signifié à mes yeux, de ce que cette ville représente dans ma vie et ma construction, ainsi qu’au sein de ma famille.
J’ai vraiment beaucoup aimé The Christmas book hunt, pour son histoire simple et réconfortante, pour l’ambiance littéraire, et les lieux dans lesquels les personnages nous emmènent. J’ai aussi adoré la fin de l’histoire et la résolution de la chasse au trésor. Un titre que je relirais très probablement lors de Noëls futurs.
Samedi 21 décembre
Reçu dans mon calendrier de l’Avent : Et le bonheur arriva du froid de Carole Cerruti. Je ne connaissais pas du tout ce titre, mais il me semble parfait pour intégrer ma pile à lire hivernale puisqu’on y suit une héroïne qui vient d’hériter d’un cottage en Finlande.
Terminé ce matin, La fille qui n’aimait pas Noël de Zoe Brisby. C’était une lecture sympathique, assez drôle même si parfois un peu poussive. Les deux personnages principaux sont attachants, tout comme le village dans lequel se déroule l’intrigue. Une bonne petite comédie de Noël.
J’ai ensuite commencé The most wonderful crime of the year d’Ally Carter, un roman mêlant cosy mystery et romance. Une autrice de cosy mysteries, Maggie, et un auteur de thriller, Ethan sont invités à passer Noël dans le manoir anglais de la plus célèbre autrice de romans policiers, la “duchesse de la mort”, Eleanor Ashley. Mais le lendemain matin, Eleanor a disparu. Maggie et Ethan se retrouvent à enquêter ensemble.
Dimanche 22 décembre
Noël approche, et je me rends compte que je n’ai lu que très peu d’albums. Le fait d’avoir été malade, et de l’être toujours un peu, durant pratiquement tout le mois de décembre a bousculé mes plans pour cet Avent. C’est une année particulière, je me suis fait à l’idée. Et quand je m’attarde un peu sur mon rythme de lecture de ces dernières semaines, je me dis que ce sont peut-être tout simplement les romans qui ont pris le dessus sur le reste, ce qui est loin très bien aussi.
Hier soir, comme lecture de chevet, j’ai commencé The undoing of Violet Claybourne d’Emily Critchley. Les premières pages sont assez enthousiasmantes et me font penser à l’ambiance qui peut se dégager des romans de Kate Morton que j’adore. Nous sommes juste avant la deuxième guerre mondiale, Gillian, jeune fille plutôt effacée, fait la connaissance de Violet Claybourne lorsque celle-ci arrive au pensionnat où elle réside et partage sa chambre. Violet est la cadette d’une famille d’aristocrates, et mène une vie si éloignée de celle de Gillian que celle-ci éprouve rapidement une fascination à son égard ainsi que pour ses soeurs qu’elle découvre au travers des lettres que reçoit Violet. Cependant, son comportement souvent étrange nous fait nous rendre compte assez vite que le vernis recouvrant ce portrait de famille n’est pas aussi brillant qu’il n’y paraît. Et lorsque Violet propose à Gillian de venir passer Noël à Thornleigh hall, on a tout aussi hâte de nous y rendre que cette dernière, mais peut-être pas pour les mêmes raisons.
Lundi 23 décembre
Lecture des nouvelles The Christmas bread de Kathleen Norris, et Christmas in a Bavarian village d’Elizabeth von Arnim, une de mes autrices préférées.
La première est une très belle histoire de réconciliation le matin de Noël entre un frère et une soeur qui ne se voyaient plus depuis un différend lié à un héritage. La deuxième est très courte et met en scène une femme retournant en Allemagne pour fêter Noël après de nombreuses années d’absence. Beaucoup de choses ont changé, mais elle éprouve rapidement le sentiment d’être chez elle, oubliant presque les Noëls passés ailleurs.
Cette année, j’ai lu Un été en montagne de la même autrice. Je l’ai beaucoup aimé, même si ce n’est pas mon titre préféré d’elle. Difficile de détrôner Avril enchanté.
Mardi 24 décembre
C’est avec une pointe de tristesse et de nostalgie (déjà) que j’ai ouvert ce matin le dernier cadeau de mon calendrier de l’Avent. L’ouverture de ce calendrier rempli de jolies attentions et de générosité aura été la constante de mon Avent et un moyen incontournable de garder le moral pour surmonter les microbes. Quoi de mieux pour finir en beauté que de recevoir un livre ? J’ai sauté de joie en y déballant Francoeur - A nous la vie d’artiste!, le nouveau titre de Marie-Aude Murail, co-écrit avec Constance Robert-Murail, sa fille. Il était totalement passé sous mon radar, ce fut une merveilleuse surprise. Il va définitivement rejoindre ma pile à lire de ce début d’année.
J’ai été pas mal occupée en ce jour de réveillon, mais j’ai quand même souhaité perpétuer une de mes petites traditions depuis quelques années, celle de lire un album de Noël. Dans la grande pile délaissée cette année, j’ai sélectionné l’album écrit par Katherine Rundell et illustré par Emily Sutton, One Christmas wish, qui est une petite merveille du genre.
Mercredi 25 décembre
Reçus au pied du sapin de la part d’une amie : Terra Alta de Javier Cercas et Abigaël de Magda Szabó. Tous deux très intrigants.
J’ai également reçu une nouvelle liseuse, ce qui m’a totalement ravie, la mienne montrait des signes de vieillesse et risquait de me lâcher d’un jour à l’autre. Je suis donc l’heureuse propriétaire d’une Kobo Libra color.
Jeudi 26 décembre
J’ai terminé The most wonderful crime of the year. C’était très divertissant, j’ai beaucoup aimé le mélange entre énigme et romance, deux fils narratifs qui cohabitent plutôt bien ensemble et dynamisent le tout. C’est un roman plutôt léger mais néanmoins consistant notamment car il aborde le sujet du gaslighting en fil rouge de l’intrigue. J’espère qu’il sera traduit en français, car c’est un roman qui plaira beaucoup à plusieurs personnes de mon entourage. J’étais ravie de retrouver la plume d’Ally Carter dont j’avais déjà beaucoup apprécié l’humour il y a des années dans les deux tomes de La vie cachée de Katarina Bishop (Young adult).
Vendredi 27 décembre
Je suis toujours plongée dans The Undoing of Violet Claybourne. Je le lis par petites touches car c’est ma lecture du soir, et ce n’est pas le moment où je lis le plus. L’ambiance du roman est de plus en plus lourde et malsaine. Les personnages ont des personnalités peu attachantes, mais leur histoire n’en demeure pas moins intrigante.
J’aime énormément les références aux soeurs Brontë dont l’autrice parsème le roman : la demeure familiale qui s’appelle Thornleigh Hall, on y suit trois soeurs (pas de Bramwell ici) qui ont créé un monde bien à elles, le monde imaginaire d’Elvore directement inspiré de Gondal, celui créé par les Brontë durant leur enfance et dans lequel ils inventaient quantités d’histoires. Sur le sujet, j’ai lu et adoré il y a quelques années l’excellent roman graphique Glass Town d’Isabel Greenberg. Il est peut-être temps de le relire. Il y a aussi le merveilleux album jeunesse de Briony May Smith, Au pays des histoires, qui lui est plus récent.
Par ailleurs, deux romans de saison me font encore très envie, j’ai donc décidé de poursuivre mes lectures de Noël jusqu’à la fin des vacances (5 janvier).
Dimanche 29 décembre
Très enthousiaste par rapport à ma nouvelle lecture, A midwinter’s tail de Lili Hayward qui se déroule dans les îles Scilly, sur l’île de Morgelyn, au large de la pointe des Cornouailles. Après quelques recherches, j’ai pu constater qu’il n’existait pas d’île appelée Morgelyn, mais tout comme pour Mure, la petite île écossaise de Jenny Colgan, cela n’enlève rien à la fascination que je porte au récit ainsi qu’aux nombreuses histoires de folklore local dans lesquelles baigne le récit et qui sont probablement inventées elles aussi.
En revanche, ce qui existe vraiment, c’est le train de nuit “Night Riviera Sleeper” que prend l’héroïne et qui fait la liaison entre la gare de Londres Paddington et Penzance, située à la pointe des Cornouailles. Inutile de dire que maintenant, je rêve de prendre ce train.
L’histoire commence mi décembre alors que Mina part pour Morgelyn après avoir reçu une lettre étrange de son parrain qu’elle n’a pas vu depuis des années et qui vit sur l’île qu’il ne quitte que très rarement. Mina n’a pas revu son parrain depuis le décès de sa mère des années auparavant. Elle avait 8 ans lorsqu’elle est allée sur l'île la dernière fois, le dernier Noël passé en compagnie de sa mère.
Un passage décrivant les îles (p32) :
“On one wall is an antique framed map showing the islands. I examine it, trying to knit together the flotsam of memories that remain from the few months I was here as a kid. St Mary’s - where we are - is the “big” island, then there’s the long scatter of St Martin’s, and Tresco, sandwiched next to wild Bryther, and to the south St Agnes and tiny Samson, and finally, the furthest out of all the islands, the last point of land before the vast deeps of the Atlantic, Morgelyn.”
Mardi 31 décembre
Terminé ce matin, A midwinter’s tail. Un très bon moment de lecture, 200 pages que j’ai dévorées en deux jours. Une histoire imprégnée de folklore local, de secrets de famille, le tout agrémenté d’un soupçon de romance qui reste cependant anecdotique. Ce qui est rare, et plutôt bienvenu dans un roman de Noël. L’écriture nostalgique et moderne à la fois, l’autrice parsemant son récit de petits détails l’ancrant bien dans la société actuelle. J’ai repéré ce petit roman complètement par hasard en Ecosse, et je suis bien ravie de l’avoir emmené dans mes valises. L’année prochaine, je lirai avec plaisir l’autre roman de l’autrice, The cat of Yule cottage.
J’ai maintenant bien envie de commencer Murder party au manoir de Carine Pitocchi, le tome 2 de sa série Christmas cosy mystery. Le premier volet des aventures de Jo et Lawrie m’avait beaucoup plu l’année dernière.
En ce dernier jour de l’an, j’ai envie de dresser un petit bilan de mes lectures de Noël.
Ce que j’ai lu:
The Christmas guest de Peter Swanson
La fille qui n’aimait pas Noël de Zoé Brisby
Christmas at the island hotel de Jenny Colgan
The Christmas book hunt de Jenny Colgan
The most wonderful crime of the year d’Ally Carter
A midwinter’s tail de Lili Hayward
One Christmas wish de Katherine Rundell et Emily Sutton
Souriceau et la nuit de Noël de Sarah Massini et Tracey Corderoy
Le flocon de Noëlle de Benji Davies
En cours:
The undoing of Violet Claybourne d’Emily Critchley
Murder party au manoir de Carine Pitocchi
Stories for Christmas (il me reste 5 nouvelles à lire).
Dans ma pile pour l’année prochaine :
The Christmas Jigsaw Murders d’Alexandra Benedict
Christmas with the savages de Mary Clive
Christmas pudding de Nancy Mitford
The long shadow de Celia Fremlin
Les mystères du manoir hanté d’Eva Frantz et Elin Sandstrom
Etrange Noël à Marcilly de Caroline Costa
La vie est belle et drôle à la fois de Clarisse Sabard
Tout comme pour les albums que j’ai délaissés cette année, je n’ai pas non plus eu le temps de relire les deux bandes-dessinées que je souhaitais relire : Cassandra Darke de Posy Simmonds ainsi qu’Un chant de Noël : une histoire de fantômes de José Luis Munuera.
Un très beau mois de lecture, très heureuse de finir l’année sur cette note.
Merci pour votre lecture!
J’espère que cette deuxième partie de journal de lecture vous a plu! Je vous donne rendez-vous le mois prochain pour le suivant ☺️ En attendant, d’autres posts seront à découvrir par ici !
N’hésitez pas à me laisser un petit ❤️ ou un 💭, c’est toujours un bonheur de vous lire en retour 🙏🏻
Belle semaine à vous,
Emy x
Un très beau bilan de lectures ! Tu as eu raison de profiter de noël à fond. Je me rends compte que j’ai lu très peu de tires de ta liste. Je voulais lire le dernier album d’Emily Sutton mais le temps est passé si vite. Ceci dit, comme c’est plus un album d’hiver, je peux me le garder pour ce début d’année.
Waouh je suis admirative de toutes tes lectures ! En tout cas j'ai pris beaucoup de plaisir à me replonger dans l'ambiance de Noël au travers de tes lectures. Merci de ce joli partage inspirant ! Je t'espère enfin rétablie ! 😊